samedi 28 mai 2016

Pour criminaliser les révolutionnaires, Macron & les sociafascistes utilisent le mot "radicalisation" pour les milices terroristes des banques du Golfe, leurs complices Qatar Séoud


par Yanick Toutain
28/6/2016

Hollande finance AQMI (58M$ avec Sarkozy), Ansardine (20M€), installe et protège les terroristes MNLA Iyad Ag Ghali au Mali, soutient AlQaeda contre Assad en Syrie, bafoue le mandat d'amener de la juge Sabine Khéris en cahant le jihadiste Soro dans la COP 21, 
mais Macron la pute des banques utilise le mot RADICALISATION pour pouvoir en ACCUSER les révolutionnaires avec le MEME MOT "radicalisé"





LAROUSSE RADICALISER
Rendre un groupe, son action, plus intransigeants, plus durs, en particulier en matière politique ou sociale : En déclenchant la grève, le syndicat radicalise ses revendications.

ECOLE TERRORISTE "PETITS COMBATTANTS DU JIHAD" FINANCEE 20M€ PAR HOLLANDE



L'OBS (TORCHON DE PROPAGANDE FRANCEàFRIC QUI CENSURE LA TOTALITE DE MES ARTICLES MAINTENANT) PARTICIPE A LA CAMPAGNE "RADICALISATION"

 De cette ville [Lunel] qui a vu partir une vingtaine de ses jeunes vers le djihad syrien, le ministre de l'Economie voulait "montrer un autre visage" : celui d'une "jeunesse qui veut entreprendre". Emmanuel Macron se rendait vendredi à la rencontre de jeunes élèves d'une école du numérique de Lunel, entre Montpellier et Nîmes, dans l'Hérault :
"Je voulais venir dans cette belle ville parce que d'abord on a souvent parlé de Lunel en termes inquiétants, comme un des exemples d'une ville qui a souffert de ce phénomène du djihad et d'une radicalisation".
"La plupart d'entre eux veulent créer leur propre entreprise, leur propre projet", s'est félicité le ministre, évoquant les 18 élèves de l'école. "Et je voulais en venant ici envoyer ce message dire d'abord que, à Lunel il y a de l'espoir, il y a de l'envie de faire, il y a de la volonté."
Mais sur des images de BFMTV diffusées dans la soirée, on assiste à des échanges bien moins compassés : pris à partie dans le centre-ville par des syndicalistes au sujet de la loi Travail, le ministre de l'Economie se lance dans de vifs échanges sous l’œil des caméras :
"Mais moi je n'ai pas de leçons à recevoir. Si vous n'aimez pas que la France soit bloquée, arrêtez de la bloquer", lance sèchement Emmanuel Macron.
"Ce qui a bloqué la France, c'est le 49-3 Monsieur Macron !" rétorque un de ses interlocuteurs.

A un jeune homme vêtu d'un T-shirt qui lui fait une remarque sur son "costard", il répond du tac au tac :
"Vous n'allez me faire peur avec votre T-shirt. La meilleure façon de se payer un costard c'est de travailler".
"Mais je rêve de travailler, Monsieur Macron, j'en rêve !" réagit une femme à proximité. "Donnez donc du travail, tous les chômeurs ont envie de travailler !" renchérit le premier. "C'est pas moi qui vais créer des emplois. Les emplois, c'est l'activité économique qui les créera", répond le ministre. L'échange durera une dizaine de minutes, avant que le ministre et son entourage ne perdent patience.
"Prenez garde, la jeunesse elle est désespérée !" lui lance "l'homme au T-shirt". "La jeunesse n'est pas que désespérée. [...] Là je viens de voir des jeunes qui ont envie de travailler, qui ont envie de réussir et qui ne sont pas en train de dire ça !", conclut fermement Emmanuel Macron avant de tourner les talons.

"En marche" dès ce samedi

Un avant-goût de la campagne de porte-à-porte de son mouvement "En marche !", qu'il doit lancer ce samedi ? Emmanuel Macron a en tout cas confirmé qu'il ne pourrait se rendre à Marseille comme prévu "compte tenu du contexte" des grèves et blocages et de la réunion à laquelle il doit participer avec les acteurs du secteur pétrolier.
Le ministre de 38 ans a dit attendre de son mouvement "une mobilisation de toutes celles et ceux qui ont envie de faire avancer les choses" et "un diagnostic le plus honnête et lucide possible du pays". "Je rendrai compte de tout ce travail à la fin de l'été", a-t-il dit. Alors qu'une des séquences de la journée le plaçait au gouvernail d'une barque avec des pêcheurs de l'étang de l'Or, il a assuré, en réponse à une question, qu'il ne fallait y voir aucune "métaphore" d'un éventuel désir de tenir un jour la barre du pays...  

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