mardi 16 septembre 2014

RevActu: La Fronde de 1652 c'étaient les futurs courtisans de Louis XIV pas les révolutionnaires républicains de l'Ormée à Bordeaux

Boris Porshnev
historien de la Fronde
et des mouvements populaires
en France
par Yanick Toutain
RevActu
29/8/14
"Ce ralliement de la bourgeoisie provoqua la perte d’une orientation politique pour les masses populaires révoltées et c’était les princes qui allaient désormais l’exploiter à ses fins. Porchnev voit dans la lutte des princes, puis de l’Église, une concurrence entre les différents systèmes de rentes féodales : centralisée, seigneuriale et cléricale. Mais les nobles ne voulaient pas la révolution puisqu’ils appartenaient à la classe dirigeante. Ils désorganisèrent l’union des mouvements urbains et paysans. Les villages furent réprimés."
Boris Porchnev
Il a eu beaucoup d'eleves, mais peu de disciples

On nous présente les socialistes qui se comportent en rats quittant le navire qui coule en "frondeurs"....

DIMANCHE 24 AOÛT 2014

par Yanick Toutain
24/8/14

Un de plus ! Après les crachats de Cécile Duflot dans la soupe gouvernementale sarkhollandiste, c'est maintenant Benoit Hamon qui vient de rejoindre les rangs de.... l'opposition bavarde.
« On ne peut pas fronder dans le gouvernement. Chacun son rôle. Mais cela ne signifie pas qu'on ne va pas dire des choses » précise Hamon. Mais dans son discours, il plaidera aussi pour une aide rapide au pouvoir d'achat des ménages » (interview Benoit Hamon au Parisien- Rosalie Lucas 24/8/14)

L'OPPOSITION BAVARDE DES MINISTRES QUI COULENT

Une opposition à l'intérieur même du gouvernement ?
Mais non, ce sont juste des bavards bavardant sans aucun acte ayant force d'efficacité !
Ils peuvent toujours bavarder les Benoit Hamon, les Arnaud Montebourg, les Cécile Duflot !
Le train de la politique bancocrate continue sa route en jetant toujours davantage de chômeurs sur les trottoirs de France !

Mais les historiens ne peuvent que ricaner de ces qualificatifs...
En effet, les lecteurs du spécialiste russe de la période de la Fronde savent parfaitement ce que fut cette période
LES FRONDEURS : DES CONTRE-REVOLUTIONNAIRES QUI FURENT L'ETINCELLE DECLENCHANT LA PREMIERE REVOLUTION ANTI-MONARCHIQUE EN FRANCE

En l'an 1652, l'union de l'Ormée de Bordeaux, de petits bourgeois, de prêtres, de boutiquiers, d'artisans, aidée par le menu peuple des gens qui ne possédaient rien, prend l'hôtel de ville et y installe une République gasconne ! L'étendard rouge flotte sur le clocher de Saint-Michel. Avec plus de 100 ans d'avance sur les idées révolutionnaires de Voltaire et Rousseau, l'Ormée parle de Liberté, d'Égalité et de Fraternité. (La Fronde en Gironde, L'Ormée, un mouvement révolutionnaire Auteur : Hélène Sarrazin)

Le Wikipédia Boris Porchnev est très complet
"Dans une troisième partie, Porchnev évoque le problème de la Fronde. Il commence par faire un point historiographique sur la question de la Fronde. Il critique l’opinion de l’historiographie bourgeoise sur ce sujet. Il explique que sous le règne de Louis XIV, il y a eu une falsification des documents relatifs à la Fronde, le roi souhaitant effacer ce moment de l’histoire ou en tout cas d’en modifier la réalité. À partir de la toute fin du xviiie siècle et au début du xixe siècle, les historiens voient dans la Fronde, le signe avant-coureur de la Révolution Française. D’un côté, il y avait les historiens comme Saint Aulaire qui considérait la Fronde comme un mouvement bourgeois, non pas une révolution des masses populaires. Ce mouvement luttait selon lui pour des réformes modernes. Il eut une grande influence sur l’historiographie bourgeoise libérale. D’un autre côté, il y avait ce que Porchnev nomme les historiens démocratiques, tels Capefigue, qui considéraient la Fronde comme un mouvement populaire. Celui-ci a démontré le rôle d’impulsion des masses populaires dans la Fronde, disant que ce n’était pas une émeute, mais réellement une révolution politique basée sur la lutte des classes (rivalité entre riches et pauvres). Il influença beaucoup d’historiens comme Michelet. Dans les années 1930, deux historiens reprirent l’étude de la Fronde. Courteault, dans son ouvrage, a choisi d’étudier deux soulèvements de masses populaires dans Paris, l’un au début de la Fronde, l’autre à la fin. Il explique que la différence entre ces deux événements est que dans le premier la base populaire était alliée à la bourgeoisie contre l’absolutisme, alors que dans le deuxième, elle se trouva opposée à cette même bourgeoisie qui l’avait abandonné. Madelin, quant à lui, ne nie pas le caractère révolutionnaire de la Fronde, il cherche à montrer que ce mouvement allait à l’encontre des intérêts de la nation. Il dit que la Fronde est un paradoxe historique entre le gouvernement de Richelieu et celui de Louis XIV, que ce mouvement n’est qu’accidentel, affirmant par là qu’il était forcément voué à l’échec. Porchnev émet de vives critiques envers ces recherches.
Il réfléchit ensuite sur une interprétation scientifique de la Fronde. Il affirme qu’au début la Fronde eut été une tentative de révolution bourgeoise (les officiers à cause de la Paulette), les nobles n’y prenant pas encore part. Des soulèvements populaires continuaient d’éclater un peu partout en France. Le Parlement de Paris mis en place une législation antifiscale, ce qui entraîna un refus du peuple à payer n’importe quel impôt, attaquant ainsi les « gabelleurs ». Dès 1649, la plus grande partie des mouvements populaires, de la paysannerie et des bases couches sociales des villes, soutenait le Parlement de Paris dans sa lutte contre la royauté. Dès que le Parlement vu ses désirs ratifiés par cette dernière, il voulut la paix. Les officiers se retrouvaient entre deux feux : d’un côté ils devaient continuer à lutter, d’un autre il fallait qu’ils maintiennent l’autorité du roi. Paris était assiégé, la masse populaire pillait les gabeleurs, la bourgeoisie avait peur de ces pillages. La noblesse pris le commandement de l’armée, la bourgeoisie se retira et s’allia à la noblesse dans la Fronde des Princes. Ce ralliement de la bourgeoisie provoqua la perte d’une orientation politique pour les masses populaires révoltées et c’était les princes qui allaient désormais l’exploiter à ses fins. Porchnev voit dans la lutte des princes, puis de l’Église, une concurrence entre les différents systèmes de rentes féodales : centralisée, seigneuriale et cléricale. Mais les nobles ne voulaient pas la révolution puisqu’ils appartenaient à la classe dirigeante. Ils désorganisèrent l’union des mouvements urbains et paysans. Les villages furent réprimés.
L’étude de Porchnev se penche ensuite sur la bourgeoisie et ce qu’il appelle le régime féodal-absolutiste. Il tente de définir les traits essentiels de la bourgeoisie française du xviie siècle, pour comprendre sa conduite dans l’histoire de la Fronde. Il explique qu’il y a un rapprochement de cette bourgeoisie avec le régime féodal-absolutiste, qui prend trois aspects. Le premier rapprochement est politique avec la création de nouveaux offices. Dans les villes, à cette époque, pour être considéré comme un honnête homme, il fallait détenir un office. À partir de 1604, les offices deviennent héréditaires. Les offices apportaient à l’acquéreur des revenus et des privilèges, ainsi qu’un prestige de pouvoir et d’autorité donc une certaine considération. La possession d’office était un pas vers la noblesse. L’hérédité des offices donnaient automatiquement à la troisième génération la qualité de noble. Le deuxième rapprochement est social, car la bourgeoisie adopte le mode de vie de la noblesse. Porchnev dit qu’en France, la qualité autant que le mode de vie séparaient les différents ordres. Le noble devait avoir un train de vie seigneuriale, ne pas toucher au commerce ou à l’industrie, et encore moins effectuer des travaux manuels. La bourgeoisie investissait dans les offices, mais aussi dans les terres, afin de passer pour un seigneur. En tant que propriétaire, ils pouvaient bénéficier de la rente féodale. Parfois des bourgeois obtenaient des titres de noblesse aux armées ou à la cour. Et enfin, le troisième rapprochement est économique par la transformation du capital industriel et commercial en capital-crédit. Pour protéger son capital des impositions, la bourgeoisie prêtait sa richesse aux seigneurs, à l’État. Pour cela, les bourgeois devaient acquérir des privilèges fiscaux. C’est cette volonté qui les a poussés à acheter des offices car beaucoup d’officiers étaient dispensés de payer les impôts. Dans le système féodal, la classe dominante et l’État avaient toujours besoin de crédit. La bourgeoisie donnait de l’argent aux seigneurs ou à l’État, et en échange, pouvait percevoir des impôts sur la population. Porchnev montre ensuite qu’il y a également un rapprochement de la société nobiliaire et de l’État avec la bourgeoisie. Porchnev explique l’appareil de pouvoir dans un État nobiliaire ne peut se trouver dans les mains des nobles, car cela provoquerait une lutte entre les différents seigneurs. C’est pour cela que l’État a remis cet appareil de pouvoir entre les mains de fonctionnaires, n’appartenant pas à cet ordre. L’évolution vers l’absolutisme imposait de fait d’avoir une bureaucratie bourgeoise. De plus, la bourgeoisie étant la source des crédits de l’État, celui-ci était obligé de lui conférer des privilèges pour qu’elle laisse ses capitaux dans le commerce. Un problème se posait tout de même, car lorsque l’emprunt se faisait par la vente d’offices, le roi perdait en même temps une partie de ses revenus. Porchnev met en avant un cercle vicieux, le roi demeurant dès lors forcément liés à ces créanciers, aux acquéreurs d’offices, aux fermiers des impôts, qui sont tous des bourgeois. C’est ainsi que les impôts étaient supportés par les masses populaires, une partie de la bourgeoisie s’en exemptant par des privilèges de différentes natures. Pour les finances, il était impossible de supprimer la vénalité des offices ou bien la ferme des impôts. Mais Porchnev explique également qu’il aurait été dangereux pour la monarchie nobiliaire que la bourgeoisie fasse alliance avec les masses populaires et c’est ainsi qu’il explique cette expression de Richelieu : la bureaucratie bourgeoise est un mal « inévitable ». De plus, elle joue un rôle important dans les soulèvements. Lorsque la bourgeoisie passait dans le camp de la monarchie, les soulèvements perdaient leur chef, et dans le même temps, toute direction dans la lutte qu’ils menaient. D’autre part, les soulèvements paysans ne pouvaient rien renverser sans avoir conquis les villes. La bourgeoisie jouait ici un rôle répressif, grâce à l’importance des contingents d’officiers, mais aussi parce que la garde des villes était composée de bourgeois. Les masses populaires, qui n’avaient pas d’armes, se trouvaient alors facilement fragile et facile à dompter. Voici la place et les rôles importants joués par la bourgeoisie au xviie siècle.
Pour finir, Porchnev étudie le comportement de cette bourgeoisie pendant le Fronde. Il affirme que la vénalité des offices fut un moyen de détourner la bourgeoisie du mouvement révolutionnaire contre le féodalisme et non pas comme le pense Mousnier un moyen de soumettre la monarchie à la bourgeoisie. Porchnev explique que si la monarchie reprenait aux officiers leurs droits de propriété sur les offices et leurs privilèges, cela les privait d’une situation nobiliaire, et donc ils retomberaient forcément dans leur état initial de bourgeois. Au début de la Fronce, ces officiers, délaissés par Mazarin, ont suivi l’attitude de l’ensemble de la classe bourgeoise, c’est-à-dire qu’ils se mirent à la tête de la révolution. Toutefois, si la Fronde ne s’est pas transformée en révolution bourgeoise, c’est que les couches dirigeantes de la bourgeoisie, au moment décisif, ont trahi les causes qu’elles défendaient et se placèrent sous la protection de l’absolutisme. Porchnev considère que c’est la peur d’une révolution populaire antiféodale qui a rapproché à ce moment-là l’État nobiliaire et la bourgeoisie. Il explique que cette peur du côté de la bourgeoisie n’était pas due aux risques de pillages, mais plutôt par le fait qu’elle n’avait qu’un allié pour lutter contre le féodalisme : la masses paysannes et citadines, contrairement à l’Angleterre, où elle avait en plus un soutien dans la noblesse qui s’était « embourgeoisée ». N’ayant qu’un seul allié, la bourgeoisie risquait alors de perdre la direction du mouvement à un moment donné, de ne plus réussir à arrêter le peuple dans sa volonté de s’exprimer. Porchnev écrit que « la bourgeoisie lutte contre toute forme d’exploitation et non pour une nouvelle forme d’exploitation. » Il explique ce recul de la bourgeoisie, le fait qu’elle déposait les armes par sa féodalisation.
À travers cet ouvrage, Boris Porchnev a déclenché chez les historiens français un vaste débat. De nombreuses critiques ont été faites, sur la vision d’ensemble qu’a Porchnev du xviie siècle, sur l’utilisation du mot « féodal » et de son sens. Il a une vision différente des historiens français sur la France d’Ancien Régime. Il voit la France comme un État féodal et les révoltes sont pour lui une manifestation de la « pression des couches opprimées contre cette structure oppressive ». Roland Mousnier remet en question cette idée d’une « lutte entre classes », voyant plutôt dans ces soulèvements un caractère spontané. Cet historien dit que Porchnev, pour son étude, est parti d’une philosophie, celle de la « lutte des classes » et qu’il a mis en œuvre celle-ci dans la France du xviie siècle. Nous entendons par là qu’il prétend que la « lutte des classes » existait déjà en ce siècle, qu’elle est le moteur de l’histoire et qu’elle explique les séditions et les émotions populaires. Selon Mousnier, il aurait dû utiliser cela comme hypothèse dans ses recherches, non comme une vérité affirmée. La controverse qui a existé entre Mousnier et Porchnev a entraîné une composition de monographie sur les soulèvements paysans qui se sont déroulés auxviie siècle. Madeleine Foisil, une élève de Mousnier a fait des recherches sur la révolte de Normandie de 1639. Yves-Marie Bercé a, quant à lui, fait des travaux sur la série de troubles qui a sévi dans une grande partie du sud-ouest de la France dans les années 1630 et 1640. Ou encore, René Pillorget a produit une étude sur les insurrections en Provence. Ces différentes études portent sur les origines et la dynamique sociale des soulèvements populaires face aux initiatives royales. Elles ne s’attardent pas sur la réponse des autorités royales face à ceux-ci."

On est bien loin des rats qui quittent le navire à 17%
La révolisation qui se prépare est un processus de civilisation. Ces gens sont incapables de comprendre quoi que ce soit. A part soutenir la Franceàfric et les enseignants syndiqués agresseurs d'enfants !

Révolisation à Bordeaux : L'assemblée de l'Ormée du 21° siècle sera formée de délégués députés révocables

par Yanick Toutain
16/9/14

Pendant les luttes de la Fronde entre la noblesse française et le roi, les bourgeois bordelais forment l'Assemblée de l'Ormée. Ce n'est qu'en 1653, que Bordeaux est soumise par les armes et que le jeune Louis XIV y fait une entrée solennelle.
  • Le parti de l'Ormée est un groupe d'opposants à la monarchie à Bordeaux dans les années 1650. Il s'appelle ainsi car ses partisans se réunissent dans un lieu planté d'ormes. (... ) 
    Certains de leurs pamphlets reprenaient les idées des Niveleurs anglais2. Une députation avait été envoyée en avril 1653 à Cromwell pour lui réclamer, vainement, son appui3.

Si Bordeaux est maintenant célèbre sur internet pour ses deux juges voyous, faussaires qui inventent de faux aveux en Cour d'Appel - les deux juges voyous Bernard Ors et Robert Miori
Si Bordeaux a acquis une célébrité méritée pour son avocate qui garde l'argent et ne se déplace pas en Cour d'Appel... pas seulement pour le prononcé... mais aussi pour le procès lui-même....

LUNDI 20 MAI 2013

.. malgré l'injonction de sa cliente...
Si Bordeaux est célèbre pour son port esclavagiste qui a vu partir les bateaux de la traite...
La révolution de 1789 ne modifia pas la fréquence des
départs de bateaux de la traite barbare esclavagiste
depuis Nantes, Le Havre et Bordeaux
Ils sont venus pour faire la traite
Acheter les hommes comme des bêtes
Royal Bourbon Massacre à fond
Boulevard Louis 16
Boulevard de la Mort

Pour les espoirs d'un changement
Les tractations durèrent 5 ans
Nantes et Bordeaux Gardent le gâteau
Boulevard des Girondins
Boulevard de la Mort

Le grand boucher des Colonies
1802 reprit nos vies
Seul Louverture Pour le futur
Boulevard Napoléon
Boulevard de la Mort
(Boulevards Africa Unité)
Wikipédia: Au même titre que NantesLa RochelleLorientMarseille et bien d'autres, elle devient en effet un centre négrier et permet à certaines grandes familles de négociants de s'enrichir grâce au commerce triangulaire. En 1571, le Parlement de Bordeaux s'était pourtant prononcé contre l'esclavage. Il existait une forte tradition humaniste à Bordeaux dont le plus célèbre représentant fut Montaigne. En 1548, Étienne de La Boétie, membre du Parlement de Bordeaux, avait rédigé un des premiers textes anti-esclavagistes européens, « Le discours de la servitude volontaire ». La traite des noirs, déjà initiée par les grandes compagnies portugaises ou anglaises notamment, va se développer peu à peu en France. La place privilégiée du port de Bordeaux va susciter la convoitise de riches familles de négociants qui vont vouloir s'enrichir grâce à la traite. Ainsi, nombreux vont être les aventuriers qui vont s'installer dans la ville de Bordeaux en ce sens. La plupart sont originaires du Portugal, d'Irlande ou de la région du Tarn.
Plan de Bordeaux et de ses environs, par Hippolyte Matis (1716-1717)
Les plantations esclavagistes de la partie française de Saint-Domingue appartiennent aussi en grande partie à ces riches nouveaux Bordelais. Bordeaux se hisse ainsi, en 1743, au rang de cinquième port [réf. nécessaire]négrier français à égalité avec Le Havre. Il est encore bien loin - avec moins de cinquante navires depuis le début du siècle - du colosse nantais, qui expédie cette année-là son cinq centième navire vers les côtes guinéennes 

Si Bordeaux est célèbre pour son maire Alain Juppé repris de justice qui bénéficie de la grande compassion de ces juges voyous prompts à écrabouiller les résistants abolitionnistes !
Un repris de justice qui parraine un maire du Havre lui-même soutient du délinquant Jérôme Lavrilleux ! On est en bonne compagnie !
Quand une innocente est condamnée par des faux à payer 31000 euros, le coupable Juppé complice du coupable Chirac obtient un sursis...... scandaleux !

Affaires judiciaires[modifier | modifier le code]

Appartement de Laurent Juppé[modifier | modifier le code]
En juin 1995Le Canard enchaîné publie un document interne de la Ville de Paris, signé par Alain Juppé, donnant ordre à ses services de diminuer le loyer de son fils Laurent, logé dans un appartement relevant des propriétés de la ville de Parisrue Jacob. Il est locataire, à un prix défiant toute concurrence, d’un appartement de 189 m² dans la même rue, où sont réalisés des travaux pour plusieurs millions de francs aux frais des contribuables. Une plainte pour « prise illégale d’intérêts » est déposée par l’Association des contribuables parisiens, créée ad hocpar Arnaud Montebourg, à l’époque jeune avocat et adhérent du Parti socialiste.
Une information judiciaire est ouverte par le procureur de la République de Paris, Bruno Cotte, qui a considéré que le délit de « prise illégale d'intérêts » était établi. Il annonce cependant son intention de classer le dossier si Alain Juppé quitte son appartement. Le procureur général près la cour d'appel de Paris, Jean-François Burgelin, publie alors un communiqué, approuvé par le ministère de la Justice, affirmant que l’infraction n’était pas constituée et qu’elle était de toute façon prescrite. Cependant, la décision de classement impose à Alain Juppé de déménager.
Emplois fictifs de la Ville de Paris[modifier | modifier le code]
En 1999, Alain Juppé est mis en examen pour « abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux, et prise illégale d’intérêt » pour des faits commis en tant que secrétaire général du Rassemblement pour la République et maire adjoint de Paris aux finances, de 1983 à 1995. Il est considéré comme un élément clé d’un système de financement occulte d’emplois au sein du RPR financés par la mairie de Paris et des entreprises désireuses de passer des contrats publics (sa secrétaire personnelle au RPR fut elle-même rémunérée par une entreprise, le groupe immobilier Ségur, puis par la ville de Paris).
Le 30 janvier 2004, il est condamné par le tribunal correctionnel de Nanterre à dix-huit mois de prison avec sursis dans l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris et à une peine de dix ans d’inéligibilité. Le tribunal juge notamment que :
« Alain Juppé dans la quête de moyens humains lui apparaissant nécessaires pour l’action du RPR a délibérément fait le choix d’une certaine efficacité en recourant à des arrangements illégaux […] Que la nature des faits commis est insupportable au corps social comme contraire à la volonté générale exprimée par la loi ; qu’agissant ainsi, Alain Juppé a, alors qu’il était investi d’un mandat électif public, trompé la confiance du peuple souverain. […] »
L’appel interjeté par Alain Juppé, immédiatement après sa condamnation, a pour effet de suspendre l’application de cette décision jusqu’à l’arrêt de la cour d'appel. Le 1er décembre 2004, celle-ci réduit la condamnation à quatorze mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité.
La cour d'appel formule quant à elle que :
«  Il est regrettable qu’au moment où le législateur prenait conscience de la nécessité de mettre fin à des pratiques délictueuses qui existaient à l’occasion du financement des partis politiques, M. Juppé n’ait pas appliqué à son propre parti les règles qu’il avait votées au parlement. Il est également regrettable que M. Juppé, dont les qualités intellectuelles sont unanimement reconnues, n’ait pas cru devoir assumer devant la justice l’ensemble de ses responsabilités pénales et ait maintenu la négation de faits avérés. Toutefois, M. Juppé s’est consacré pendant de nombreuses années au service de l’État, n’a tiré aucun enrichissement personnel de ces infractions commises au bénéfice de l’ensemble des membres de son parti, dont il ne doit pas être le bouc émissaire.  »
Il démissionne le lendemain de son dernier mandat, celui de maire de Bordeaux. Nombre de commentateurs estiment alors qu'« Alain Juppé paye pour Jacques Chirac » et que, bien que l'ancien Premier ministre soit condamné pénalement, la justice a reconnu Jacques Chirac comme responsable moralement21.
Mais Bordeaux ce n'est pas seulement ce ramassis de voyous héritiers d'une tradition de voyous esclavagistes.... c'est aussi la République de l'Ormée !
Citons Larousse
Ormée (révolte de l'),
épisode révolutionnaire apparu au sein de la Fronde bordelaise (1651-1653).
L'Ormée est un mouvement radical qui émerge au milieu des luttes de factions dont Bordeaux est le théâtre dans les années 1649-1651, et qui tient son nom d'une place ombragée où des membres du « menu peuple » avaient pris l'habitude de se rassembler. Issus de la petite et moyenne bourgeoisie des métiers et des offices, les ormistes s'organisent en confrérie, se dotant d'un symbole (une cocarde de paille) et d'une devise (Vox populi, vox Dei). Dans leurs programmes (« Manifeste des Bourdelois », « Articles de l'Union »), ils formulent des revendications d'inspiration démocratique et égalitaire, où l'on reconnaît parfois l'influence des « niveleurs » anglais (faction radicale apparue au cours de la révolution anglaise de 1649). Invoquant les « antiques libertés » bordelaises, ils dénoncent tout à la fois la tyrannie fiscale du pouvoir central et la confiscation du pouvoir local par l'oligarchie marchande et parlementaire. Lorsque le parlement de Bordeaux, inquiet de la radicalisation du mouvement, veut interdire les assemblées, les ormistes s'emparent du pouvoir municipal, avec la complicité des agents de Condé (juin 1652). L'Ormée tente alors d'instaurer un nouveau type de pouvoir urbain reposant sur une assemblée de cinq cents personnes, un « conseil des trente », périodiquement renouvelable, et une milice. Face au blocus de la ville par les troupes royales, elle impose des mesures de « salut public » dont sont victimes les notables, suspectés de pactiser avec Mazarin. Mais, paradoxalement, l'Ormée tire sa force de l'appui, non dénué d'intentions manipulatrices, de Condé. Aussi, lorsque dans l'été 1653 ce dernier se rapproche de la cour, le sort de l'Ormée est-il scellé : les assemblées sont interdites, et Dureteste, son chef, est exécuté, mettant un terme à cette expérience de « république urbaine ».
BIENTÔT UNE NOUVELLE ASSEMBLEE DE L'ORMEE
Ce qui se prépare à Bordeaux, c'est la mise au gnouf de cette voyoucratie esclavagiste !
Bientôt convergeront les délégués révolisationnaires qui recréeront une nouvelle Assemblée de l'Ormée
Aux cris de Hollande DEGAGE, Juppé DEGAGE ! Valls DEGAGE ! Sarkozy NE REVIENT PLUS !
Qatar DEGAGE ! Princes Saoudiens DEGAGENT et JUGES VOYOUS EN CABANE !
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